Votre entreprise invisible sur Google ? Sans fiche Google My Business, impossible d’apparaître dans les recherches locales ! Pourtant, la démarche pour revendiquer votre profil est simple et gratuite. Découvrez dans cet article comment créer et optimiser votre fiche pour booster votre visibilité. Vous verrez comment cela peut augmenter significativement vos ventes ! Cliquez ici pour en savoir plus.
Comme pour toute entreprise, la recherche de clients est une activité constante. À cette fin, la mise en place d’actions marketing est essentielle. Les actions marketing via les réseaux sociaux ou le référencement sur le site internet sont souvent privilégiées par les petites entreprises. Cependant, il existe une autre plateforme qui pourrait offrir des résultats considérablement meilleurs : Google My Business.
Photographes, avez-vous déjà ressenti le stress de définir vos tarifs ? La peur d’effrayer vos clients ou de ne pas valoriser votre travail comme il se doit ? J’ai une méthode inédite à partager. Elle vous aidera non seulement à optimiser votre rentabilité dès le départ, mais aussi à vous positionner solidement dans un marché compétitif tout en vous épargnant de précieuses heures. Rejoignez-moi et transformez votre approche tarifaire pour une meilleure sérénité financière et professionnelle !
Vous êtes chef d’entreprise et vous ressentez le poids de la communication et du marketing, tout en étant limité par un budget serré ? Découvrez comment ChatGPT, la sensation de l’intelligence artificielle, peut métamorphoser votre TPE en simplifiant vos tâches, améliorant vos services, et propulsant votre visibilité en ligne, le tout potentiellement sans frais supplémentaires. Plongez avec nous dans ce guide complet et apprenez à exploiter la puissance de l’IA au service de votre entreprise !
« Si le low cost rencontre un certain succès, c’est d’abord parce qu’il répond à une attente forte des clients : avoir moins pour beaucoup moins cher. » ~ Emmanuel Combe
Les générations Y et Z, sont et seront vos clients majoritaires d’aujourd’hui et de demain. Et ils imposent des règles du jeu marketing et commerciales complètement différentes de celles dictées et héritées des précédentes générations, dont les baby-boomers.
En 1998, Kodak avait 170.000 employés et vendait 85% de tout ce qui était imprimé en tant que photo dans le monde. En quelques années, leur modèle économique disparaissait et ils ont fait faillite.
Connaissez-vous Southwest Airlines ? Elle est à l’origine du concept de Low-Cost. Pourquoi et comment les photographes pourraient s’en inspirer ?
« En ce moment, il y a un grand stress, c’est le stress de l’ubérisation.
Mais ça veut dire quoi être ubérisé ? C’est des (…) entreprises qui ont peur de mourir (…) se faire dévorer par 2016.
Alors qu (…) en réalité ça veut dire : voilà, les règles du jeu business (…) ont (…) changé, il va falloir être innovant, sortir de sa zone de confort.
Il va falloir se réinventer. Il va falloir passer d’un état stable à un état instable.
Il va falloir créer des entreprises qui sont mutantes. Il va falloir remettre le capital humain au coeur du système pour que les hommes s’engagent, pour qu’ils transforment votre boîte. (…)
Une fois que l’on se dit ça, qu’est-ce que l’on fait ? Une fois que l’on en est là ?
Et qu’on voit le gros trou noir. Et que l’on flippe sa merde de ce qu’il se passe de l’autre côté ? Qu’est-ce que l’on fait ?
On fait un truc très simple, je crois : on saute en parachute.
Le but, ce n’est pas de créer un pont, de faire une rampe de lancement, non parce qu’en fait on est dans un changement de société, un changement d’ère, un changement de monde.
Il va falloir armer son parachute et sauter.
Et pour pouvoir sauter, il va falloir avoir confiance. Confiance en qui ? En l’avenir. L’avenir c’est qui ? C’est la jeunesse. (…)
Il va falloir sauter et il va falloir voler. Et pour voler, il faut du vent. Et je crois que le vent, ce sont les idées.
Nous y voilà, je crois que le seul moyen de s’affranchir de ce passé qui devient si lourds, qu’il nous rend inertes, de cette peur qui est paralysante : ce sont les idées.
Il nous faut des idées pour construire aujourd’hui et pour construire demain. Et du coup il nous faut des idées portées par des hommes et des femmes qui vont les incarner. Mais surtout qui vont en prendre la responsabilité.
Et c’est là le coeur du message que je souhaiter faire passer. Car une idée c’est super. Mais sans une ou plusieurs personnes derrière qui ne prend pas la responsabilité, cette idée ne sert à rien. (…)
La disparition du monde d’hier et l’incompréhension du monde de demain. (…)
La responsabilité de ceux qui ont des idées pour aujourd’hui, de ceux si ont compris ce qui est en train de se passer, c’est de les partager.
Sinon on va créer des sociétés qui sont fracturées. Et c’est globalement ce qui est en train de se passer. Entre ceux qui vivent, qui vibrent.
Et ceux qui vont payer la double peine. C’est à dire la disparition du monde d’hier et l’incompréhension du monde de demain. Qui ne le pourront pas l’aimer parce qu’ils ne le comprennent pas. (…)
La responsabilité des idées, c’est aussi de proposer. On peut analyser ce qu’il se passe aujourd’hui. (…) Il faut proposer pourquoi ? Parce que l’on en a raz le bol des diagnostics. (…)
L’heure n’est plus aux diagnostics (…) L’heure est à la proposition. (…) Parce que le destin n’est pas écrit. (…) parce que vous allez écrire au fur et à mesure que vous allez avancer. C’est comme ça que ça fonctionne. Le destin on ne le subit pas, on choisit, on construit.
« La vraie trahison est de suivre le monde comme il va et d’employer l’esprit à le justifier. » ~ Jean Guehenno »
~ Emmanuelle Duez – TEDxMarseille, 29 octobre 2016.
Nous devons comprendre que nous vivons dans une époque inédite. Et cela bouscule beaucoup de choses, dont les comportements et les prises de décisions de nos clients.
Comment adapter son entreprise face à l’inflation ? Se former et surtout être en action pour gagner la bataille
« Tout le succès d’une opération réside dans sa préparation. » ~ Sun Tzu, L’art de la guerre
Face à l’inflation, les chefs d’entreprise peuvent se former. Cela leur permettra d’être mieux préparés et d’ajuster les différents points qu’ils peuvent mettre en œuvre pour surmonter cette période.
PlancheContact a historiquement été fondé à l’occasion de la transition des outils photographiques des techniques argentiques aux technologies numériques par Samuel Malarik.
Depuis mai 2005, nous avons accompagné plus d’un millier de photographes à développer leurs entreprises. Soit plus 17 ans à mener notre mission avec nos offres d’outils, de services et de formations innovantes.
Face à cette nouvelle période de défis, nous vous proposons plusieurs formations. Celles-ci sont selon notre expérience utiles et adaptées à cette période d’inflation durable et aux conséquences inévitables :
- Adapter la stratégie globale de son entreprise : Photographe Marketing 2023
- Libérer et entretenir sa créativité avec une formation animée par Dario Caruso
- Développer les services photo pour les entreprises avec Dominique Giannelli
- Mieux vendre des produits suite à une prise de vue portrait avec ProSelect
- Être visible des clients potentiels de sa zone de chalandise avec Google Maps
Toutes ces formations peuvent bénéficier d’un financement par le FAFCEA ou d’autres organismes de financement de la formation professionnelle. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.
Avec le FAFCEA, PlancheContact a un accord de subrogation de paiement. De ce fait, seul le reste à charge vous sera directement facturé. La partie financée par le FAFCEA étant facturée directement auprès de l’organisme.
Enfin, PlancheContact est un organisme de formation dont le processus est certifié Qualiopi. Un label qui est demandé par une majorité d’organismes chargés du financement de la formation professionnelle.
« Notre 21e siècle est marqué par une transformation des comportements de consommation.
En particulier, les crises, économiques et sociales, et l’émergence du digital participent d’une reconfiguration en profondeur de la relation aux marques et aux distributeurs.
Conséquence : le nouveau consommateur, appelé CONSO-BATTANT, adopte des stratégies multiples pour préserver son « VOULOIR D’ACHAT ».
Cinq profils s’affirment désormais : le RECESSIONNISTE, le NÉGOCIATEUR, le VIGILE, le TOUCHE-A-TOUT et le MINIMALISTE.
1/ LE RÉCESSIONNISTE :
Pour aborder ce profil, il est nécessaire de resituer les choses dans leur contexte. La France qui compte un grand nombre de pauvres (Source INSEE 2013 : 8,6 millions de Français vivaient sous le seuil de pauvreté).
Ces personnes sont économiquement contraintes, et le marketing doit aussi s’adresser à eux, pas uniquement au travers de petits prix, en pointant du doigt leur pauvreté.
Il y a aussi une manière de s’adresser à ces personnes, non pas en valorisant ce statut d’économiquement contraint, mais en le prenant comme une donnée et en faisant en sorte de préserver leur vouloir d’achat.
2/ LE NÉGOCIATEUR :
Le français n’est pas traditionnellement dans une culture de la vente et de la négociation.
On s’aperçoit que d’années en années se développe une frange de négociateurs qui négocie de plus en plus souvent, là où l’on n’avait pas l’habitude de pratiquer cela.
Il s’habitue ainsi à l’idée que tout peut se négocier. Cela participe à une révolution face à laquelle les vendeurs ne sont pas toujours bien préparés.
3/ LE VIGILE :
C’est le «digital native» de la consommation.
Ce terme transposé à la consommation a suscité bien des questions. Est-ce que la technologie transforme la société ? Est-ce la société qui transforme la technologie ?
Ce qui nous intéresse plus particulièrement c’est la façon dont les outils digitaux ont transformé le rapport aux marques et accru l’envie de comparer, de s’informer, d’acheter en connaissance de cause.
Cela fait naître des comportements parfois opportunistes, où l’utilisateur va se passer d’acheter si la marque ne satisfait pas correctement tous ses désirs.
4/ LE TOUCHE-A-TOUT :
Ce profil est intéressant à plus d’un titre. Il est tout d’abord égotique : le touche-à-tout a une vie sociale sur internet où il aime parler de ses expériences.
Les marques doivent surveiller ces touche-à-tout, car ils vont contribuer à sa réputation, de manière positive ou non.
Ces gens ont également la volonté de maintenir un vouloir d’achat important, qui se traduit par beaucoup de temps passé à comparer, à solliciter les marques, à négocier les offres, à travailler sur les bons plans…
Cette population est nombreuse, pas nécessairement jeune, et pose problème aux marketeurs, car on ne peut pas vraiment les « mettre dans une case ».
5/ LE MINIMALISTE :
C’est parfois un non-consommateur ou quelqu’un qui ambitionne de consommer différemment.
Il n’est pas nécessairement économiquement contraint, sinon il serait un récessionniste ; il fait de la réduction de ses achats une position idéologique.
Il peut être attiré par certaines marques qui ont parfaitement compris l’offre qu’elles pouvaient lui adresser.
Or les marques et les enseignes accusent un temps de retard, lorsqu’il s’agit de comprendre les motivations de ces nouveaux consommateurs, de répondre à leurs attentes et de satisfaire leurs besoins.
S’ensuivent une défiance généralisée et une frustration réciproque.
En multipliant les exemples de stratégies gagnantes, adaptées à chaque profil, cet ouvrage, résolument optimiste, donne aux praticiens du marketing les clés pour dépasser les résistances du CONSO-BATTANT, afin, au final, de VENDRE « MIEUX » et non uniquement « PLUS ».
MARKETING DE LA GRENOUILLE ?
Cet animal a une vraie capacité d’adaptation, lorsqu’il perçoit un changement rapide d’environnement. Par contre, lorsqu’il se trompe dans sa perception du changement, il en vient à mourir.
Attention à ne pas être victimes du syndrome de la grenouille : l’environnement change très vite, et il est nécessaire de prendre en compte toutes ces évolutions. »
SOURCES :
– http://visionarymarketing.fr/…/le-marketing-de-la-grenouil…/
– https://www.amazon.fr/gp/product/2367780757/
Ce livre publié il y a très peu de temps – 6 mois – semble apporter des réponses constructives basées sur des exemples concrets.
Et je crois qu’il apporte une vision nouvelle et surtout mise à jour de notre clientèle d’aujourd’hui. Nous entrons dans une ère nouvelle où nous devons réellement jouer la carte de la confiance générée par la transparence de nos offres détaillées.
[slideshare id=59129505&doc=29-marketing-grenouille-160305181939]
Vous débutez en photographie ? Vous aimeriez obtenir des conseils et des retours d’expériences ? Voici nos formations pour vous aider à démarrer au mieux !
Depuis mai 2005, PlancheContact est force de proposition afin d’aider les photographes à concrétiser leur passion en une activité professionnelle rentable.
Et si vous êtes photographe débutant en recherche de solutions adaptées pour votre progression ou encore un photographe professionnel expérimenté en recherche de solutions face à la crise, je vous recommande notre formation « Start-Up Photo – Studio Edition ».
De même, si vous avez des projets d’ouverture de studio, nous vous recommandons notre nouvelle formation « Studios Mobiles & Mini-Séances » afin de trouver d’abord un premier marché avant d’investir et de développer un véritable studio dans votre localité.