Bénéfices de ChatGPT pour les TPE : Un vrai assistant pour votre marketing
Le modèle du low cost est une forte attente de la clientèle

« Si le low cost rencontre un certain succès, c’est d’abord parce qu’il répond à une attente forte des clients : avoir moins pour beaucoup moins cher. » ~ Emmanuel Combe

Générations Y et Z : Les clients d'aujourd'hui et de demain pour les photographes

Les générations Y et Z, sont et seront vos clients majoritaires d’aujourd’hui et de demain. Et ils imposent des règles du jeu marketing et commerciales complètement différentes de celles dictées et héritées des précédentes générations, dont les baby-boomers.

L’histoire de Kodak, un avant goût de la quatrième révolution industrielle

En 1998, Kodak avait 170.000 employés et vendait 85% de tout ce qui était imprimé en tant que photo dans le monde. En quelques années, leur modèle économique disparaissait et ils ont fait faillite.

Southwest Airlines

Connaissez-vous Southwest Airlines ? Elle est à l’origine du concept de Low-Cost. Pourquoi et comment les photographes pourraient s’en inspirer ?

Emmanuelle Duez - TEDx Marseille - Octobre 2016

« En ce moment, il y a un grand stress, c’est le stress de l’ubérisation.

Mais ça veut dire quoi être ubérisé ? C’est des (…) entreprises qui ont peur de mourir (…) se faire dévorer par 2016.

Alors qu (…) en réalité ça veut dire : voilà, les règles du jeu business (…) ont (…) changé, il va falloir être innovant, sortir de sa zone de confort.

Il va falloir se réinventer. Il va falloir passer d’un état stable à un état instable.
Il va falloir créer des entreprises qui sont mutantes. Il va falloir remettre le capital humain au coeur du système pour que les hommes s’engagent, pour qu’ils transforment votre boîte. (…)

Une fois que l’on se dit ça, qu’est-ce que l’on fait ? Une fois que l’on en est là ?
Et qu’on voit le gros trou noir. Et que l’on flippe sa merde de ce qu’il se passe de l’autre côté ? Qu’est-ce que l’on fait ?

On fait un truc très simple, je crois : on saute en parachute.

Le but, ce n’est pas de créer un pont, de faire une rampe de lancement, non parce qu’en fait on est dans un changement de société, un changement d’ère, un changement de monde.

Il va falloir armer son parachute et sauter.

Et pour pouvoir sauter, il va falloir avoir confiance. Confiance en qui ? En l’avenir. L’avenir c’est qui ? C’est la jeunesse. (…)

Il va falloir sauter et il va falloir voler. Et pour voler, il faut du vent. Et je crois que le vent, ce sont les idées.

Nous y voilà, je crois que le seul moyen de s’affranchir de ce passé qui devient si lourds, qu’il nous rend inertes, de cette peur qui est paralysante : ce sont les idées.

Il nous faut des idées pour construire aujourd’hui et pour construire demain. Et du coup il nous faut des idées portées par des hommes et des femmes qui vont les incarner. Mais surtout qui vont en prendre la responsabilité.

Et c’est là le coeur du message que je souhaiter faire passer. Car une idée c’est super. Mais sans une ou plusieurs personnes derrière qui ne prend pas la responsabilité, cette idée ne sert à rien. (…)

La disparition du monde d’hier et l’incompréhension du monde de demain. (…)

La responsabilité de ceux qui ont des idées pour aujourd’hui, de ceux si ont compris ce qui est en train de se passer, c’est de les partager.

Sinon on va créer des sociétés qui sont fracturées. Et c’est globalement ce qui est en train de se passer. Entre ceux qui vivent, qui vibrent.

Et ceux qui vont payer la double peine. C’est à dire la disparition du monde d’hier et l’incompréhension du monde de demain. Qui ne le pourront pas l’aimer parce qu’ils ne le comprennent pas. (…)

La responsabilité des idées, c’est aussi de proposer. On peut analyser ce qu’il se passe aujourd’hui. (…) Il faut proposer pourquoi ? Parce que l’on en a raz le bol des diagnostics. (…)

L’heure n’est plus aux diagnostics (…) L’heure est à la proposition. (…) Parce que le destin n’est pas écrit. (…) parce que vous allez écrire au fur et à mesure que vous allez avancer. C’est comme ça que ça fonctionne. Le destin on ne le subit pas, on choisit, on construit.

« La vraie trahison est de suivre le monde comme il va et d’employer l’esprit à le justifier. » ~ Jean Guehenno »

~ Emmanuelle Duez – TEDxMarseille, 29 octobre 2016.


Nous devons comprendre que nous vivons dans une époque inédite. Et cela bouscule beaucoup de choses, dont les comportements et les prises de décisions de nos clients.

Comment adapter son entreprise face à l’inflation ? Se former et surtout être en action pour gagner la bataille

« Tout le succès d’une opération réside dans sa préparation. » ~ Sun Tzu, L’art de la guerre

Face à l’inflation, les chefs d’entreprise peuvent se former. Cela leur permettra d’être mieux préparés et d’ajuster les différents points qu’ils peuvent mettre en œuvre pour surmonter cette période.

PlancheContact a historiquement été fondé à l’occasion de la transition des outils photographiques des techniques argentiques aux technologies numériques par Samuel Malarik.

Depuis mai 2005, nous avons accompagné plus d’un millier de photographes à développer leurs entreprises. Soit plus 17 ans à mener notre mission avec nos offres d’outils, de services et de formations innovantes.

Face à cette nouvelle période de défis, nous vous proposons plusieurs formations. Celles-ci sont selon notre expérience utiles et adaptées à cette période d’inflation durable et aux conséquences inévitables :

Toutes ces formations peuvent bénéficier d’un financement par le FAFCEA ou d’autres organismes de financement de la formation professionnelle. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.

Avec le FAFCEA, PlancheContact a un accord de subrogation de paiement. De ce fait, seul le reste à charge vous sera directement facturé. La partie financée par le FAFCEA étant facturée directement auprès de l’organisme.

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Livre : Le Marketing de la Grenouille

« Notre 21e siècle est marqué par une transformation des comportements de consommation.

En particulier, les crises, économiques et sociales, et l’émergence du digital participent d’une reconfiguration en profondeur de la relation aux marques et aux distributeurs.

Conséquence : le nouveau consommateur, appelé CONSO-BATTANT, adopte des stratégies multiples pour préserver son « VOULOIR D’ACHAT ».

Cinq profils s’affirment désormais : le RECESSIONNISTE, le NÉGOCIATEUR, le VIGILE, le TOUCHE-A-TOUT et le MINIMALISTE.


1/ LE RÉCESSIONNISTE :

Pour aborder ce profil, il est nécessaire de resituer les choses dans leur contexte. La France qui compte un grand nombre de pauvres (Source INSEE 2013 : 8,6 millions de Français vivaient sous le seuil de pauvreté).

Ces personnes sont économiquement contraintes, et le marketing doit aussi s’adresser à eux, pas uniquement au travers de petits prix, en pointant du doigt leur pauvreté.

Il y a aussi une manière de s’adresser à ces personnes, non pas en valorisant ce statut d’économiquement contraint, mais en le prenant comme une donnée et en faisant en sorte de préserver leur vouloir d’achat.


2/ LE NÉGOCIATEUR :

Le français n’est pas traditionnellement dans une culture de la vente et de la négociation.

On s’aperçoit que d’années en années se développe une frange de négociateurs qui négocie de plus en plus souvent, là où l’on n’avait pas l’habitude de pratiquer cela.

Il s’habitue ainsi à l’idée que tout peut se négocier. Cela participe à une révolution face à laquelle les vendeurs ne sont pas toujours bien préparés.


3/ LE VIGILE :

C’est le «digital native» de la consommation.

Ce terme transposé à la consommation a suscité bien des questions. Est-ce que la technologie transforme la société ? Est-ce la société qui transforme la technologie ?

Ce qui nous intéresse plus particulièrement c’est la façon dont les outils digitaux ont transformé le rapport aux marques et accru l’envie de comparer, de s’informer, d’acheter en connaissance de cause.

Cela fait naître des comportements parfois opportunistes, où l’utilisateur va se passer d’acheter si la marque ne satisfait pas correctement tous ses désirs.


4/ LE TOUCHE-A-TOUT :

Ce profil est intéressant à plus d’un titre. Il est tout d’abord égotique : le touche-à-tout a une vie sociale sur internet où il aime parler de ses expériences.

Les marques doivent surveiller ces touche-à-tout, car ils vont contribuer à sa réputation, de manière positive ou non.

Ces gens ont également la volonté de maintenir un vouloir d’achat important, qui se traduit par beaucoup de temps passé à comparer, à solliciter les marques, à négocier les offres, à travailler sur les bons plans…

Cette population est nombreuse, pas nécessairement jeune, et pose problème aux marketeurs, car on ne peut pas vraiment les « mettre dans une case ».


5/ LE MINIMALISTE :

C’est parfois un non-consommateur ou quelqu’un qui ambitionne de consommer différemment.

Il n’est pas nécessairement économiquement contraint, sinon il serait un récessionniste ; il fait de la réduction de ses achats une position idéologique.

Il peut être attiré par certaines marques qui ont parfaitement compris l’offre qu’elles pouvaient lui adresser.


Or les marques et les enseignes accusent un temps de retard, lorsqu’il s’agit de comprendre les motivations de ces nouveaux consommateurs, de répondre à leurs attentes et de satisfaire leurs besoins.

S’ensuivent une défiance généralisée et une frustration réciproque.

En multipliant les exemples de stratégies gagnantes, adaptées à chaque profil, cet ouvrage, résolument optimiste, donne aux praticiens du marketing les clés pour dépasser les résistances du CONSO-BATTANT, afin, au final, de VENDRE « MIEUX » et non uniquement « PLUS ».


MARKETING DE LA GRENOUILLE ?

Cet animal a une vraie capacité d’adaptation, lorsqu’il perçoit un changement rapide d’environnement. Par contre, lorsqu’il se trompe dans sa perception du changement, il en vient à mourir.

Attention à ne pas être victimes du syndrome de la grenouille : l’environnement change très vite, et il est nécessaire de prendre en compte toutes ces évolutions. »

SOURCES :
http://visionarymarketing.fr/…/le-marketing-de-la-grenouil…/
https://www.amazon.fr/gp/product/2367780757/


Ce livre publié il y a très peu de temps – 6 mois – semble apporter des réponses constructives basées sur des exemples concrets.

Et je crois qu’il apporte une vision nouvelle et surtout mise à jour de notre clientèle d’aujourd’hui. Nous entrons dans une ère nouvelle où nous devons réellement jouer la carte de la confiance générée par la transparence de nos offres détaillées.

[slideshare id=59129505&doc=29-marketing-grenouille-160305181939]


Vous débutez en photographie ? Vous aimeriez obtenir des conseils et des retours d’expériences ? Voici nos formations pour vous aider à démarrer au mieux !

Depuis mai 2005, PlancheContact est force de proposition afin d’aider les photographes à concrétiser leur passion en une activité professionnelle rentable.

Et si vous êtes photographe débutant en recherche de solutions adaptées pour votre progression ou encore un photographe professionnel expérimenté en recherche de solutions face à la crise, je vous recommande notre formation « Start-Up Photo – Studio Edition ».

De même, si vous avez des projets d’ouverture de studio, nous vous recommandons notre nouvelle formation « Studios Mobiles & Mini-Séances » afin de trouver d’abord un premier marché avant d’investir et de développer un véritable studio dans votre localité.

3 journées pour développer des concepts de studios mobiles avec des mini-séances

Carol Allain - Choc des Générations

Carol Allain est une personnalité de la thématique des générations. Et aujourd’hui, il est primordial de prendre en compte le « choc des générations ». Car il faut dès à présent coordonner les offres des prestataires au attentes de chaque générations qui cohabitent :

« Chacune possède des valeurs, priorités et façons de faire qui lui sont propres. Le défi du commerce de détail est de bien les comprendre autant pour travailler ef cacement avec les employés que pour bien répondre aux besoins
des clients. »

Cinq générations, cinq ADN différents

La génération silencieuse (1901-1944)

Le devoir, la responsabilité, la continuité sont les valeurs qui guident cette génération et qui l’ont caractérisée lorsqu’elle était sur le marché du travail. Le consommateur silencieux : il est fidèle à long terme, par exemple il va chez le même coiffeur depuis 40 ans.

Les Baby-Boomers (1945 -1963)

Église, état, famille, solidarité : c’est le NOUS. Cette génération nombreuse et très active, qui fait vivre l’économie depuis les années 1960, a bénéficié de sécurité et de permanence au travail. L’employé baby-boomer : il est loyal et fidèle à l’entreprise. Le consommateur baby-boomer : il consomme beaucoup, achète de l’utile, aime le confort et être rassuré.

La génération X (1964 -1978)

Elle ne veut plus de contraintes, mais davantage de liberté (moins d’enfants, ne pas acheter mais louer une maison), réussir sa vie et non pas dans la vie. Les émotions la guident, la qualité de vie et la santé (végétarisme) sont primordiales. L’employé X : il a d’autres projets que le travail, qui n’a plus la même valeur. Il veut un bel environnement et la qualité de vie dans le travail. Les femmes X ont amené la conciliation travail-famille et la semaine de 35h, un virage majeur. Le consommateur X : il veut vivre des émotions, du rêve, de l’aventure, voyager. Comme consommateur et employé, le X n’est pas fidèle, il est guidé par l’émotion et achète ce qui est beau. Il veut être considéré, avoir un accueil impeccable. C’est le JE.

La génération Y (1979 -1994)

Les Y sont les enfants des boomers, qui leur ont dit de faire ce qu’ils aiment dans la vie. Ils n’ont plus les valeurs de devoir, sacrifice, responsabilité. L’employé Y : il n’a aucune tolérance pour l’autorité (il est dans l’horizontalité), les contraintes et règles. La rigueur ne fait pas partie de son ADN. Je suis une star et je veux avoir de la reconnaissance et en public. C’est tout un défi pour l’employeur. Cependant, l’employé Y a de grandes qualités : il aime la diversité et le changement, il est bon communicateur, ouvert sur le monde, très mobile, souvent bilingue ou trilingue. Il amène le virage du télétravail. Le consommateur y : il est dans l’ère du commerce en ligne, très actif sur les réseaux sociaux. Outre d’être présents sur le Web, les commerçants doivent donc être très innovateurs et créatifs pour l’attirer et lui offrir un service irréprochable.

La génération Z (1995 -2010)

Z pour zapping ! Ce sont les enfants des X : hyperprotégés, hyperconnectés et hypercritiques. L’employé Z : il définit la compétence à partir du charisme et du style. Les notions d’expérience et d’ancienneté n’existent plus. J’ai besoin d’être applaudi. Le consommateur Z : né dans les technologies et les réseaux sociaux, il est encore plus rapide que le Y, c’est un nouveau monde !

S’adapter : un défi de taille mais indispensable

« Les commerçants doivent absolument s’adapter aux nouvelles générations, qui ne sont plus dans la durée ni la fidélité, et n’ont pas le même système de valeurs. Des mots comme par exemple compétence ou reconnaissance n’ont pas la même signification selon la génération. C’est un défi majeur », résume Carol Allain.

Au niveau de la clientèle, il faut agir sur deux plans :

1. Se connecter plus sur le client
Par le Web marketing : le commerce doit y être actif, sinon c’est la mort ! Le commerce en ligne est un virage fondamental dans les habitudes de consommation. En personne par un contact privilégié : fidéliser le client en développant avec lui un lien particulier, en lui offrant une expérience d’achat personnalisée, un café, un cadeau, une carte de délité, etc., pour satisfaire ses attentes.

2. Faire des activités en façade
Selon des thématiques, pour faire voir l’entreprise. Il faut être vu, être remarqué et se démarquer, et faire des efforts constants sur ce plan.

Les commerces de détail doivent travailler ensemble pour former une collectivité et s’entraider : comment attirer les clients et les garder ? Et bien sûr, il faut se mettre en mode technologie. D’ici 2020, sept milliards de consommateurs seront branchés, ce sera une véritable révolution.

Extrait du magazine du développement commercial de Drummondville : ZONE-D


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Depuis mai 2005, PlancheContact est force de proposition afin d’aider les photographes à concrétiser leur passion en une activité professionnelle rentable.

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De même, si vous avez des projets d’ouverture de studio, nous vous recommandons notre nouvelle formation « Studios Mobiles & Mini-Séances » afin de trouver d’abord un premier marché avant d’investir et de développer un véritable studio dans votre localité.

3 journées pour développer des concepts de studios mobiles avec des mini-séances

Connaissez-vous Tesla ? C’est le fameux constructeur de voitures électriques. Si vous ne le connaissez pas encore, les médias s’en chargeront, car aujourd’hui est une journée historique pour l’automobile.

Mais également une journée historique pour les entrepreneurs. Car la raison pour laquelle je veux vous parler de Telsa aujourd’hui, ce n’est pas pour les voitures, mais pour sa source d’inspiration pour nous les photographes.

Véritable visionnaire, Elon Musk développe des stratégies audacieuses, ingénieuses et très inspirantes. Il est considéré comme le nouveau Steve Jobs. Tout comme Tesla est souvent comparé à Apple.

INNOVATION MARKETING :
Tesla dépense peu en communication et publicité. Ce sont les journalistes qui se chargent de communiquer sur leurs innovations, leurs projets et leurs produits. La cause de cette pub gratuite ? Leur « Unique Selling Proposition » de malade. Car c’est totalement singulier une marque de voitures à la fois sportives, ultra-design et totalement écologiques ! Tesla = Technologies électriques et la division automobile n’est qu’une partie de leurs activités.

INNOVATION COMMERCIALE :
Tesla est l’une des rares « grosses » entreprises à faire le pari du financement participatif pour ses projets. En effet, son nouveau modèle Model 3 lancé ce jour, ne sera pas livré avant fin 2017. Pourtant les clients se pressent de la réserver avec le versement d’un acompte de 1.000 €. En moins de 24 heures, plus de 100 000 précommandes ont été enregistrées.

INNOVATION SOCIALE :
Tesla est une marque dite « Premium », voire même de « Luxe ». Pourtant, malgré des niveaux de vente convaincantes, elle n’est toujours pas rentable. Et c’est pour gagner en rentabilité financière qu’elle lance son Model 3. Un véhicule « 2.0 », vendu à un prix accessible : 30.000 €. Un tarif identique à une Peugeot 308, une Renault Mégane ou une VW Golf haut de gamme, les frais d’essence (et de TVS) en moins à l’usage.

Avec ses innovations marketing, commerciale et sociale, Tesla bouleverse toute l’industrie de l’automobile. À partir d’aujourd’hui, une nouvelle page de l’histoire de l’automobile est en train de s’écrire. Les constructeurs historiques n’ont pas d’autre choix que de s’adapter à ce bouleversement provoqué par Tesla et entrer dans une nouvelle ère technologique et sociale.

Nous autres photographes, nous avons déjà vécu un tel bouleversement technologique avec le numérique. Cependant celui-ci n’était que le point de départ de bouleversements actuels et à venir. Et au-delà de l’aspect technique et artistique, notre métier se doit de se rénover. Que ce soit au niveau de notre gestion, de notre productivité et surtout de notre offre, afin de s’adapter aux mutations de notre société.

Comment adapter son entreprise face à l’inflation ? Se former et surtout être en action pour gagner la bataille

« Tout le succès d’une opération réside dans sa préparation. » ~ Sun Tzu, L’art de la guerre

Face à l’inflation, les chefs d’entreprise peuvent se former. Cela leur permettra d’être mieux préparés et d’ajuster les différents points qu’ils peuvent mettre en œuvre pour surmonter cette période.

PlancheContact a historiquement été fondé à l’occasion de la transition des outils photographiques des techniques argentiques aux technologies numériques par Samuel Malarik.

Depuis mai 2005, nous avons accompagné plus d’un millier de photographes à développer leurs entreprises. Soit plus 17 ans à mener notre mission avec nos offres d’outils, de services et de formations innovantes.

Face à cette nouvelle période de défis, nous vous proposons plusieurs formations. Celles-ci sont selon notre expérience utiles et adaptées à cette période d’inflation durable et aux conséquences inévitables :

Toutes ces formations peuvent bénéficier d’un financement par le FAFCEA ou d’autres organismes de financement de la formation professionnelle. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.

Avec le FAFCEA, PlancheContact a un accord de subrogation de paiement. De ce fait, seul le reste à charge vous sera directement facturé. La partie financée par le FAFCEA étant facturée directement auprès de l’organisme.

Enfin, PlancheContact est un organisme de formation dont le processus est certifié Qualiopi. Un label qui est demandé par une majorité d’organismes chargés du financement de la formation professionnelle.

Primark

Avec sa politique de prix très serrés et ses efforts pour coller aux dernières tendances, l’enseigne irlandaise séduit aujourd’hui tous les âges et les milieux sociaux, ../..

Le succès s’explique aussi par la crise de 2008. « La paupérisation des classes moyennes a rendu le consommateur plus malin, prompt à se satisfaire d’un rapport qualité prix “good enough”, pour pouvoir continuer à se faire plaisir », ../..

Car Primark est à la mode ce qu’est Lidl à l’alimentaire, Logan à l’automobile ou Ikea à l’aménagement de la maison.

Extrait de l’article « Primark : le bulldozer de la mode à prix cassés » – Les Echos

Destiné au départ à une cible dite « populaire », le « Low-Cost » est aujourd’hui adopté par toutes les classes sociales du marketing.

Toutes les industries sont bouleversées par ce modèle économique. Et même les plus grandes marques « Premium » s’adaptent à cette stratégie de prix.

Mais qu’est-ce qu’en réalité le business model du « Low-Cost » ? Tout simplement proposer un produit/service au meilleur rapport qualité/prix.

Et pour obtenir un prix, il faut faire l’impasse du superflu. C’est une logique que les consommateurs comprennent. Les options annexes étant facturées.

Le terme « Low-Cost » se traduirait donc plutôt ainsi : payer ses produits et services à leurs justes valeurs et selon ses besoins/exigences.

Les conséquences bénéfiques de l’adoption de cette stratégie :
– un potentiel de clients bien plus large,
– une fréquence d’achat plus importante,

Mais en plus, cela développe un marketing de bouche à oreille important. Avec pour bonus des frais et du temps de conversion client bien moindre (marge +++).

Pour nous autres photographes, que retenir de cette stratégie commerciale pour nous adapter à l’inexorable mutation des comportements des clients ?

Comment adapter son entreprise face à l’inflation ? Se former et surtout être en action pour gagner la bataille

« Tout le succès d’une opération réside dans sa préparation. » ~ Sun Tzu, L’art de la guerre

Face à l’inflation, les chefs d’entreprise peuvent se former. Cela leur permettra d’être mieux préparés et d’ajuster les différents points qu’ils peuvent mettre en œuvre pour surmonter cette période.

PlancheContact a historiquement été fondé à l’occasion de la transition des outils photographiques des techniques argentiques aux technologies numériques par Samuel Malarik.

Depuis mai 2005, nous avons accompagné plus d’un millier de photographes à développer leurs entreprises. Soit plus 17 ans à mener notre mission avec nos offres d’outils, de services et de formations innovantes.

Face à cette nouvelle période de défis, nous vous proposons plusieurs formations. Celles-ci sont selon notre expérience utiles et adaptées à cette période d’inflation durable et aux conséquences inévitables :

Toutes ces formations peuvent bénéficier d’un financement par le FAFCEA ou d’autres organismes de financement de la formation professionnelle. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.

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